Un programme de sciences participatives sur la diversité géologique
Le besoin des partenaires
- Signaler de nouveaux affleurements géologiques (un affleurement est une partie d’un terrain visible à la surface de la Terre)
- Déployer un réseau national pouvant intervenir rapidement pour :
- Évaluer le besoin d’étude des sites nouvellement exposés
- Diagnostiquer les besoins d’intervention ou de prévention nécessaires pour conserver une trace de l’information du site
- Mettre en place localement des initiatives pédagogiques
Chiffres clés
- 37 Relais locaux – Ces relais sont des points de contact proches des participant·e·s et ont une expertise en géologie (muséums, CCSTI, réserves naturelles, géoparcs, associations…).
- 235 Observations
La mise en œuvre par Mosaic
L’objectif de Vigie-terre est de développer un réseau national afin de signaler des sites géologiques nouvellement exposés, pour évaluer leur intérêt scientifique, et de diagnostiquer besoins d’étude, de prélèvements voire de préservation du site.
Les équipes de Mosaic ont accompagné les animateur·rice·s et chercheur·euse·s du projet afin de développer une interface numérique favorisant les échanges entre les participant·e·s.
La participation au programme se fait en deux étapes : une phase de signalement et une phase de description. Les deux phases sont accessibles à tous. La première vise à donner des informations générales sur l’affleurement, et notamment sa localisation, la seconde permet de décrire plus en détail l’objet géologique. Vous pouvez participer à une ou deux de ces phases selon votre envie et votre temps. Des tutoriels sont disponibles pour vous aider.
Les résultats attendus
Malgré un programme national et une communauté d’acteur·rice·s varié·e·s et actif·ve·s sur le territoire, des lacunes de connaissance sur le patrimoine géologique sont soupçonnées et des pertes dans le cas de sites temporairement visibles sont certaines. Les sciences participatives impliquent un nombre important de participant·e·s sur l’ensemble du territoire. Un projet d’étude porté dans ce cadre pourrait permettre d’évaluer le manque ou la disparition de connaissance sur le patrimoine géologique et y remédier.